CLASSE MOYENNE : UN ÉTÉ QUI VIRE AU CAUCHEMAR

La nouvelle comédie d'Antony Cordier, CLASSE MOYENNE, s’annonce comme l’un des événements de la rentrée cinéma. Entre tensions familiales et satire sociale, le film promet de faire rire tout en offrant une réflexion sur les différences de classes. Avec un casting prestigieux, il s’impose déjà comme un rendez-vous à ne pas manquer.

Synopsis

Mehdi rêve de vacances paisibles dans la luxueuse villa de ses beaux-parents. Mais à peine arrivé, il se retrouve au cœur d’un conflit entre la famille de sa fiancée et le couple de gardiens de la propriété. Convaincu que ses origines modestes lui permettront de calmer les esprits et de trouver un compromis, Mehdi tente de jouer les médiateurs. Mais au lieu d’apaiser la situation, ses efforts ne font qu’attiser les tensions, transformant ce séjour en véritable guerre de clans.

Une bande-annonce prometteuse

La bande-annonce installe un décor ensoleillé, presque idyllique, où tout semble prêt pour des vacances parfaites. Très vite, le ton change et laisse place à des échanges tendus, des répliques mordantes et des situations absurdes. À travers des scènes à la fois drôles et grinçantes, Antony Cordier nous plonge dans une comédie où l’humour devient une arme pour aborder des sujets plus profonds.

Un casting au service du propos

La force du film réside dans son casting éclectique. Laure Calamy et Ramzy Bedia apportent une énergie comique naturelle, tandis que Laurent Lafitte et Élodie Bouchez apportent une touche plus dramatique et nuancée. Ce mélange d’acteurs issus d’horizons variés crée une dynamique unique à l’écran, renforçant l’aspect social et humain du récit.

Pourquoi on en parle

Avec CLASSE MOYENNE, Antony Cordier signe une comédie qui ne se contente pas de faire rire : elle interroge sur les rapports de pouvoir et les inégalités qui persistent dans la société. Ce film s’annonce comme l’une des sorties françaises majeures de la rentrée, mêlant humour, réflexion et émotions.